De Lotfi Ben Sassi — Il y a moins d’un an, les Tunisiens faisaient tomber leur régime, entraînant dans leur sillage ce que l’on a appelé le printemps arabe. Avec l’automne et les premières consultations populaires, on a vu arriver en tête Ennhada, le parti islamiste. Sans vouloir tirer de jugements trop hâtifs, les premières victimes de cette orientation religieuse pourraient bien être les femmes.